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| Crédit Photo http://michele-gabriel.chez-alice.fr/ |
Dans la marche
d’un enfant ou d’un fils de DIEU, il arrive qu’il s’éloigne du chemin.
L’histoire de sa vie qui avait commencé sur les lignes se retrouvent peu à peu
sur les interlignes jusqu’à se retrouver hors du cahier. Les heures de prière
autrefois sacrées sont devenues optionnelles,
le Seigneur voit que je suis occupé(e) , on commence à être absent
d’esprit aux réunions de l’Eglise car on y a été frustré, blessé…, mais présent
de corps car il ne faut pas donner matière à discuter après le culte avec nous
comme acteur principal, on s’éloigne de la chaleur fraternelle car on estime
qu’on a besoin d’être seul, de toute façon, le salut est personnel. Frère, Sœur, la Bible nous dit dans Proverbes
18 v 1 que « Celui qui se tient à l’écart cherche ce qui lui plaît, il
s’irrite contre tout ce qui est sage ». Dès lors que nous nous éloignons
de la présence de DIEU, nous nous livrons aux passions de notre chair car
L’Esprit et la chair se livrent un combat sans merci en nous pour dominer et
nos actes en faveur de l’un ou l’autre nous font pencher la balance.
Tel le fils
prodigue, nous avons dilapidé tous les biens acquis durant notre marche, jeter
aux oubliettes cette discipline obtenue à coups de jeûne et prière, les
principes bibliques que nous défendions contre vent et marée, nous avons
profité pour nous livrer à toutes sortes de vices mais nous nous sommes rendus
compte que nous sommes étrangers sur ce territoire ou on nous maltraite. Sur
cette terre, notre CV qui contient les expériences avec le Seigneur : 48H
de prière non-stop, guérisons de plusieurs malades, visite aux prisonniers,
expulsion de démons des corps possédés… est juste bon pour emballer des
galettes. Le cochon aime la saleté et la boue, mais l’agneau qui y tombe fera
tout pour quitter cet endroit qui ne lui convient pas pour retourner dans les
verts pâturages.
Gloire au
Père, Gloire au Fils et Gloire à l’Esprit car DIEU est un père aimant qui aime
le pécheur, qui ne veut pas que le méchant meure mais qu’il change de conduite
et qu’il vive[1]. Il se
laisse trouver par ceux qui le cherchent[2].
Reviens à ton premier amour[3].
Ces bontés ne sont pas encore épuisées et ses compassions à leurs termes.
Repens-toi sincèrement, confesses tes fautes.
J’aimerais t’inviter à méditer le
psaume 25 qui te fera du bien comme il m’a fait du bien à un moment de ma vie.
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